L'excellent site Malaka, http://malakaespa.blogspot.com/, nous informe qu'effectivement la Generalitat de Barcelone devra verser 300 millions d'euros à la famille Balana, en dédommagement de la perte d'activité de la Monumental à partir de 2012, en tous cas, il lui reste 6 mois pour fixer définitivement ce montant.
Il me semble avoir déjà évoqué cette singularité qui imposera aux aficionados, il doit bien en rester quelques milliers à Barcelone, mais également, ceux qui plus nombreux s'en foutent, d'avoir à participer au défraiement de Balana fils. Ce qui peut être ne manquera pas de soulever quelques interrogations chez les catalans qui ont le portefeuille assez pointilleux.
La magouille est donc tout à fait patente, car comment, sur un fond juridique et démocratique, peut-t'on admettre que quelque chose de soi disant démocratique, constitutionnel et juridiquement fondé puisse être à la fois interdit, ce serait bien le cas, puis indemnisé.
Pour les abolitionnistes, c'est une victoire certainement, mais l'avenir dira aussi, faites confiance aux espagnols pour remuer la merde pour savoir qui a tiré ces ficelles qu'on devine bien peu reluisantes, et qui des « zantis » pas « zentis » va recevoir les miettes de ce marché dégueulasse.
Navalon de tentadeo
Navalon de tentadero. Photo de Carmen Esteban avec sa permission
3 commentaires:
A moins qu'il soit d'autant plus légitime d'indemniser le propriétaire des murs subissant le préjudice, pour ces raisons-là, justement...?
pas bien saisi ta remarque amigo marcos!
eh bien si c'est démocratique, constitutionnellement légitime et juridiquement fondé et que malgré tout, on le supprime, ce qui crée donc un grave préjudice financier au propriétaire, on a beaucoup de raisons de grassement l'indemniser puisque c'est quelque part illogique et injuste. No ?
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