Après nous avoir fait un truc très sirupeux avec citation érudite de Cyrano de Bergerac, au sujet du panache de Jean Jacques Baylac, que je m'empresse de le dire je ne connaissais pas, si ce n'est que de nom et de réputation.
Alors allons y, son édito, du nano homme de Boucau, un extrait:
« Alors, quand hier soir le téléphone a commencé à sonner, j'ai su avant qu'on ne me dise. Patrick Louis, Yves Harté, Olivier Baratchar, Auguste Oller... À tous, j'ai simplement pu répondre que je savais. Trop de souvenirs, trop de peine. Que dire de lui ? Ou trop, ou trop peu. Quelques vers d'Edmond Rostand me sont alors revenus en mémoire, ceux des derniers mots prononcés au moment de sa mort par Cyrano de Bergerac, gascon fier et brave comme l'était Jean-Jacques, et qui, mieux que de longues lignes, lui rendent hommage :
"Arrachez ! Il y a malgré vous quelque chose
Que j'emporte, et ce soir, quand j'entrerai chez Dieu,
Mon salut balaiera largement le seuil bleu,
Quelque chose que sans un pli, sans une tache,
J'emporte malgré vous,
Et c'est... Mon panache..."
Adieu.
"Arrachez ! Il y a malgré vous quelque chose
Que j'emporte, et ce soir, quand j'entrerai chez Dieu,
Mon salut balaiera largement le seuil bleu,
Quelque chose que sans un pli, sans une tache,
J'emporte malgré vous,
Et c'est... Mon panache..."
Adieu.
Pas mal non? Au passage, on note que toute intelligentsia taurine se tourne vers lui pour avoir des sources d'information fiables. Normal lorsqu'il s'agit de l'homme qui oriente la politique taurine espagnole, qui envoute les sénateurs espagnols, a tout compris du problème catalan, et monopolise les ors de l'ambassade de France, avec notre pognon pour lancer sa revue « Tierras taurinas », il faut bien tout de même qu'être Président « bénévole » de l'OCT rapporte quelques menus bénéfices, au Directeur de la revue « Terres Taurines ».Nous laissant le temps d'investiguer sur ce somptueux problème de fan de Esperanza Aguirre, Présidente de la Comunidad de Madrid, qui, on l'a bien compris représentait une opportunité de diffusion de sa revue, nous reviendrons sur ce curieux amalgame, dont l'OCT est évidemment complice.
Pour le moment, en forme de « no comment » sur l'individu et son mode de fonctionnement, sur le Sud Ouest Landes du 24 Décembre 2010 la fin de son interview,en tant que « Directeur de la Revue Terres Taurines , Matador de Toros retiré » . Je cite:
« Trois ans durant je lui avais tapé dessus, en tant que journaliste et aficionado, pour que Vic ait une vraie cuadra de chevaux de picador. Il était obtus et je n'arrivais pas à le convaincre de la dimension que pourrait donner aux tercios de piques vicois l'arrivée de la cuadra Bonijol ».
4 commentaires:
Chulo ami,
Si les "obtus" ont droit à Edmond ROSTAND, que restera-t-il pour les "aigus"?...
Même (dé)clamé - au sens de décasté - depuis Vieux Boucau, son Cyrano sent (un peu trop) fort sa "commedia del arte"!
Prends bien soins de toi, et de tes reine et princesse!
A l'an que ven (e si noun sian pas maï, que noun fuguen pas men!)
Je t'embrasse - Bernard
fais de même pour les tiens et tiennes, ami Bernard LargoCampo.
pour le reste, continuons le combat, non?
Ah! Tu l'avais lu aussi Chulo?
J'ai retrouvé une citation du fils d'Edmond Rostand, le grand biologiste Jean: «Rien n'invite à la dignité comme le souvenir d'une bassesse inopérante. »
Jean Rostand «Pensées»
Assez approprié, non?
Meilleurs voeux à tous.
Sur la longue carte de visite de l'individu qui a berné le Senado avec le fric des aficionados français, qu'il n'oublie pas au moins d' ajouter une des saloperies où il est passé maitre: emberlificoteur,entortilloneur, abuseur, enc...eur. , tout ce qui consiste à prendre les gens pour des cons.
Il n'y a pas, hélas, que les plus belles fleurs qui poussent sur le fumier.
Abrazo
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